Christine Buchholz est une ancienne membre de Die Linke au Bundestag, le parlement allemand, et membre de l’Initiative Sozialismus Von Unten (« Initiative pour le socialisme d’en bas »).
Le parti de gauche radicale allemand Die Linke (« La gauche ») a été fondé en 2007, réunissant le Parti pour le socialisme démocratique (l’organisation qui a succédé à l’ancien parti au pouvoir en Allemagne de l’Est) et l’Alternative électorale – Travail et justice sociale (Wahlalternative Arbeit und Soziale Gerechtigkeit), une formation électorale ouest-allemande comprenant des sociaux-démocrates de gauche ainsi que des militants anticapitalistes. Elle a rapidement gagné des niveaux de soutien respectables, recueillant plus de 10 % des suffrages et remportant des sièges aux niveaux local, régional et national. Pourtant, depuis les élections fédérales de 2017, la performance du parti est au point mort et il traverse maintenant une crise profonde.
La question de la place de l’agriculture dans un pays profondément attaché à l’histoire de sa paysannerie
Macron veut gagner les Européennes de Juin 2024 contre le FN de Marine le Pen qui est pronostiqué en haut des votes. On donne même à Macron l’intention de se présenter à la fin de son mandat présidentiel en concurrent de Von der Leyen qui, elle, sollicite un deuxième mandat à la tête de l’UE : « Blanc bonnet, Bonnet blanc » comme disait un ex-secrétaire du PCF bien oublié depuis (Duclos) !
Michel Raptis dit Pablo : Editorial de la revue Sous le drapeau du socialisme n° 122/123, Novembre 1992
Dans un monde qui a dépassé le stade de « l’impérialisme dernier stade du capitalisme » selon Lénine, et qui accède à celui de l’économie du capitalisme mondialisé par le développement qu’exigent et imposent les nouvelles forces productives – apparues pratiquement depuis seulement 30 ans -, on assiste à la création obligatoire de « grands ensembles » antagonistes entre eux.
Le 1er janvier, alors que l’Union européenne inaugurait une nouvelle année de chaos économique et de guerres pas si lointaines, personne n’était d’humeur à célébrer le 25e anniversaire de l’euro. Personne, c’est-à-dire, sauf les eurocrates.
La conférence annuelle de l’élite mondiale fortunée, appelée « Forum économique mondial » (WEF)), se réunit à nouveau dans la station de ski de luxe de Davos, en Suisse. Des milliers de personnes y assistent et de nombreux « grands et bons » dirigeants politiques et d’affaires sont arrivés à bord de leurs jets privés avec d’énormes entourages. Parmi les intervenants figurent le Premier ministre chinois Li Qiang, la présidente de l’UE Ursula von de Leyen, le président ukrainien Zelensky et de nombreux chefs d’entreprise de premier plan.
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