Actualités
- Par Danielle RIVA
Les premières otages ont été libérées contre des prisonniers palestiniens, mais Netanyahou de continuer l’« éradication du terrorisme », c’est à dire d’expulsion des Palestiniens de leurs territoires, avec des « ratonnades » comme l’a fait l’armée française en Algérie, des actions qui déshumanisent et anéantissent l’adversaire.
- Par Bayan Abu Ya’ema et Synne Furnes Bjerkestrand
Leila Khaled, 80 ans, lutte pour la libération de la Palestine depuis l’âge de 14 ans. Elle a grandi comme réfugiée au Liban et a rejoint la résistance à un jeune âge. C’est une combattante de la liberté bien connue du mouvement palestinien, notamment pour avoir été la première femme à détourner un avion en 1969. Khaled a effectué la majeure partie de son activité de résistance avec le Front populaire de libération de la Palestine (FPLP), se déplaçant d’un pays à l’autre pour faire avancer la cause palestinienne, jusqu’à ce qu’elle s’installe en Jordanie après s’être mariée en 1992. Lorsque Mondoweiss l’a rencontrée à Amman, elle venait de rentrer du Venezuela, où elle avait assisté à une conférence sur la Palestine – Elle n’a jamais cessé de lutter pour la libération de la Palestine.
- Par Craig Murray
Un véritable changement sismique s’est produit au Moyen-Orient. En son cœur se trouve un pacte du diable : la Turquie et les États du Golfe acceptent l’anéantissement de la nation palestinienne et la création d’un Grand Israël, en échange de l’anéantissement des minorités chiites de Syrie et du Liban et de l’imposition du salafisme dans le monde arabe oriental.
- Par Giuseppe Gagliano
Président du Centro Studi Strategici Carlo De Cristoforis (Côme, Italie).
Les soulèvements spontanés qui ont eu lieu en Syrie étaient officiellement dirigés par une coalition de « modérés » – la célèbre Armée syrienne libre/ASL – se révoltant contre le régime brutal de Bachar al-Assad. Mais en réalité, il y avait peu de « modérés » en Syrie et il n’y avait pas de soulèvement « spontané ». C’était Jabhat al-Nusra, la version syrienne d’Al-Qaïda, qui menait la révolte. Et il s’agissait d’une révolte dirigée de l’étranger, planifiée de nombreuses années auparavant.
- Par Gennaro Gervasio et Fabio Merone
Octobre 2024 a marqué le cinquième anniversaire de Thawrat Tishrīn (« La révolution d’Octobre »), la mobilisation populaire qui menaçait l’establishment politique en Irak. Une période qui a vu la naissance d’un nouvel acteur sur la scène politique irakienne, celui que l’on surnomme les « Tishrini ». Cette contribution, basée sur plusieurs entretiens avec des jeunes femmes et hommes qui ont participé à Tishrin, cherche à comprendre pourquoi un mouvement qui a ébranlé le système politique a fini par échouer et presque disparaître.
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